Domina godeuse de 42 ans à Paris cherche soumis à ouvrir, dresser et enfiler sans pitié
Je suis une femme de 42 ans, domina expérimentée et godeuse convaincue. J’habite Paris et je cherche un soumis mâle, bien brisé dans sa tête, prêt à l’être aussi dans son cul. Pas de mec curieux, pas de joueur du dimanche. Je veux un véritable réceptacle. Un soumis intégral, mentalement inversé, qui bande à l’idée de se faire ouvrir, pénétrer, enfiler, défoncer à sec ou noyé de salive, selon mon humeur. Si tu n’as pas peur d’un gode dur, froid, et sans compassion, continue de lire.
Je t’attends dans mon antre à Paris. Un appartement sans lumière naturelle, mais rempli de cuir, de plastique, de bruit sourd et d’odeurs lourdes. Tu entres à genoux, le regard au sol, le cul nu. Le reste de tes vêtements, tu les abandonnes dans l’entrée. Ici, tu n’es pas un homme. Tu n’es même pas un animal. Tu es un orifice. Une cavité. Une chose à remplir.
Je ne te demande rien. Je n’ai pas besoin de ton avis. J’attache tes poignets. Je fais le tour de toi. Je teste ta soumission. Je veux voir si tu trembles. Si tu te contractes quand j’approche. Et puis je pose ma main sur ta nuque, et je t’appuie vers le sol. Ta position ? C’est moi qui la choisis. En chien, en crapaud, en grenouille… tant que ton trou est visible, offert, tremblant d’anticipation.
Je ne suis pas une tendre. Je ne lubrifie pas tout de suite. Je commence par des claques. De la langue si tu mérites. Mais le but, c’est le gode. Mon gode. Noir, massif, lourd. Je le choisis selon ton comportement. Peut-être le long et fin, peut-être le court et large. Peut-être les deux. Tu n’as pas ton mot à dire.
Je m’équipe lentement. Le harnais claque. Le cuir épouse mes hanches. Et toi, tu gémis déjà. Je m’approche. Je crache sur le bout du gode. C’est tout ce que tu auras pour commencer. Je plaque ta tête au sol, et je te perce. Lentement, ou d’un coup sec, selon ma lubie. Mais toujours profondément.
Je te prends comme une chienne. Je ne te parle pas gentiment. Je te traite. Je te domine. Je t’éduque à coups de reins. Chaque va-et-vient, c’est une leçon. Un rappel que ton plaisir ne m’intéresse pas. Ton sperme, tu peux te le garder. Moi je veux tes gémissements. Tes larmes. Tes secousses. Je veux entendre le bruit de mes hanches contre tes fesses. Je veux te voir t’ouvrir, m’avaler, me supplier.
Et quand je t’arrache un cri, quand je sens ton cul battre, se dilater, m’implorer… là je passe à un autre. Un plus gros. Un plus rugueux. Je veux t’éprouver. Je veux que tu t’en rappelles trois jours. Que tu marches en pensant à moi. À mon gode. À ma puissance.
Et parfois… je t’attache sur le dos. J’ouvre tes jambes. Je monte sur toi. Et je te pilonne en te regardant dans les yeux. Je t’ouvre de face. Je te parle. Je te crache à la gueule. Je ris pendant que tu fonds. Et je ne m’arrête que quand tu n’es plus qu’un trou tremblant, ruisselant, vidé de toute fierté.
Je suis une vraie. Une dominatrice entière. Je n’ai pas de douceur dans ces moments-là. Je ne veux pas de romantisme. Je veux une bête à dresser. Un cul à élargir. Un petit soumis à transformer en vidangeur à gode.
Si tu as déjà senti ton cul se contracter rien qu’à lire ces mots… tu sais où tu dois être : à mes pieds, sur mon sol, sous mon gode.